Photo n°1 - f/5.6 * 1/320s * ISO-100 * compensation d'exposition +0.7 *
longueur de focale 42mm (éq. 84mm)
Toute la difficulté consiste à trouver des fleurs suffisamment rebondies ET à bien pincer la fleur entre le pouce et l'index, juste à l'endroit étroit où les pétales rejoignent le "ballon"...
Mode d'emploi :
• repérer des fleurs où la base est bien gonflée ;
• pincer les pétales entre deux doigts, en veillant à bien fermer la bulle pour que l'air ne puisse pas s'en échapper, et détacher délicatement la fleur en tirant... sans la déchirer ;
• taper d'un coup sec sur le dos de l'autre main... et paf !
Photo n°2 - f/5.6 * 1/500s * ISO-100 * sans compensation d'exposition *
longueur de focale 42mm (éq. 84mm)
A l'époque, je n'en rencontrais qu'en Auvergne, et puis je me suis aperçue qu'il en poussait plein à Paris, autour du lac du bois de Boulogne entre autres.
Photo n°3 - f/5.6 * 1/500s * ISO-100 * compensation d'exposition +0.3 *
longueur de focale 42mm (éq. 84mm)
Il faut également choisir une fleur ni trop ni pas assez "avancée". Dans un cas, elle n'éclatera pas car la graine a commencé à se former, dans l'autre, elle n'éclatera pas car pas assez gonflée...
(photo mai 2012)
Par contre, je ne connais toujours pas leur vrai nom !
Même en cherchant des photos similaires avec l'outil Recherche par Image (?) dans Google Images, je ne trouve rien.
Edit du 14 juin (19h) : Grâce à Mélanie, je sais enfin que ces fleurs sont des silènes enflés.
Un grand merci !!!!
Surtout que maintenant, je sais aussi qu'il est très facilement reconnaissable "au calice réticulé et « enflé » de ses fleurs", c'est plus techniquement dit que ma description.
Je sais aussi qu'on l'appelle communément « pétard » au Québec puisqu’il est amusant de le faire éclater en pinçant son orifice, pour emprisonner l'air, avant de le frapper brusquement sur le dos de l'autre main. (...) et « pétarel » dans tout le sud de la France, où cette plante est très régulièrement consommée en salade au printemps, avant qu'elle ne fleurisse.
(source wikipedia)
Un grand merci !!!!
Surtout que maintenant, je sais aussi qu'il est très facilement reconnaissable "au calice réticulé et « enflé » de ses fleurs", c'est plus techniquement dit que ma description.
Je sais aussi qu'on l'appelle communément « pétard » au Québec puisqu’il est amusant de le faire éclater en pinçant son orifice, pour emprisonner l'air, avant de le frapper brusquement sur le dos de l'autre main. (...) et « pétarel » dans tout le sud de la France, où cette plante est très régulièrement consommée en salade au printemps, avant qu'elle ne fleurisse.
(source wikipedia)
Avec la photo n°2, je participe au thème #24 du Projet Photo 52 : CURIOSITÉ.
Oui, je sais, je contourne un peu le thème en l'interprétant comme UNE curiosité à découvrir et en n'illustrant pas LA curiosité... En plus, ces fleurs ne sont peut-être une curiosité que pour moi ;-)
Récapitulatif du thème sur Vivre la Photo : ICI.